Jeux de données contenus dans cette collection (20)
- Description:
- MA14.
"Individualism", écrit au crayon au verso de feuilles 27 x 39,5 cm, pliées en deux et comportant au recto la table des matières d'un texte dont le titre est Chôsen no minzoku ni tsuite 朝鮮の民俗に就いて, numéroté de 1 à 6, 6 p.
Réflexions, citations, notes de lecture concernant des penseurs occidentaux : Tocqueville, Thucydide, Hegel, Hobbes, Rousseau, Kant, Platon, Hume, Adam Smith, Helvétius, Bentham.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 5 Juillet 2019
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA13.
"Genshi shakai no ryûdôsei ni tsuite" 原始社會の流動性に就いて [La
mobilité dans les sociétés primitives], écrit à l'encre au recto, attaché par un trombone, 16 x 23,5 cm, 20 p.39
Le sens de la notion de mobilité sociale. Le changement de la forme des
groupes. Ville : société mobile. Village : société immobile. Etude s'appuyant sur la thèse de Durkheim, sur la sociologie américaine (anthropologie), Margaret Mead (livre de 1937), la thèse de Marcel Mauss sur le don.
La société des esquimaux prend des formes différentes l'été et l'hiver :
économie d'été / économie d'hiver; religion d'été / religion d'hiver. Fêtes des vessies, fêtes des morts, fêtes solsticiales.40 L'été la famille est petite (p. 5), l'hiver c'est la grande famille, comme dans un village, échange des femmes, vengeance très forte vis-à-vis des gens d'autres villages.
Sur l'étude des esquimaux du Groenland par Miruski. Hiver : constructions, provisions collectives (fourrures, propriété individuelle), force d'association faible, mais relations très hospitalières, très généreuses. Famille : mariage avec plusieurs femmes éventuellement. Le mariage se fait très jeune parce qu'on a besoin de force de travail. Celui qui ne peut plus chasser est comme un homme mort. Ceux qui sont malades sont jetés à la mer. Les vieux ont tendance à se suicider. On donne plus d'importance aux enfants qu'aux vieux. Ceux qui sont bons chasseurs ou grands chamanes peuvent avoir deux femmes. Développement de l'individualisme chez le bon chasseur, le grand chamane, le bon chanteur, différence de classe, mais changement selon les saisons. Individualisme. Il y a des conflits à cause des femmes qui ont besoin de se marier. Il y a plus de femmes que d'hommes et beaucoup de veuves (morts à la chasse, morts en mer). Lorsqu'il y a des procès dans le groupe, le jugement se fait par des concours de tambour, de chants pour régler les conflits.
1 . Mobilité territoriale (saisonnière)
2. Mobilité des groupes : mouvement saisonnier / groupe familial, tente.
3. Mobilité des classes : pas de classe, pouvoir temporaire, pas de pouvoir de diriger.
Origine : la chaleur, l'économie.
Technique de la chasse à la baleine, chasse aux rennes, à l'ours . . .
Les richesses sont fabriquées d'une manière individuelle : la femme coud les peaux. Le chasseur, la femme, les enfants, chacun a une propriété individuelle. Le mode de vie est en fonction des territoires. Collectivisme et individualisme.
Conclusion : ces deux formes d'organisation peuvent aussi se trouver chez les Indiens. Il en est de même à Paris et à la campagne, qui différent selon les saisons.
Changement naturel selon les saisons. Ce n'est pas la saison qui fait le changement, mais la densité sociale.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 5 Juillet 2019
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA12.
"Gendai shakai no ryûdôsei" 現代社會の流動性 [La mobilité dans la
société contemporaine], conférence à la radio [de Keijô], (1938.02.09), écrit à l'encre au recto, attaché par un trombone, 16 x 23 cm, 13 p.
Il faut qu'il y ait des individus dans la société (exemple : eau chaude ou froide, chacun selon ses goûts), mais si l'individualisme triomphe, la société ne peut pas se développer. Village = vie communautaire * ville = vie individuelle, société de profits (p. 3). Mouvement pour l'éducation d'une société nouvelle. Les fleurs de la société moderne dépendent de la mobilité de la société dans différents domaines : famille, religion, politique, profession, différents groupes sociaux. La mobilité des classes sociales est un bon exemple de cette mobilité.
C'est ce qui se passe de plus en plus dans notre société. Le groupe le moins mobile est la famille, mais là aussi, il y a des possibilités de changement.
Aujourd'hui, les époux se parlent, discutent ensemble. Autrefois, il n'en était pas ainsi. Dans la société de profit, qu'est la nôtre, la mobilité est plus grande en ville dans les professions, les couples qui divorcent sont plus nombreux.
Mobilité professionnelle : autrefois, on restait paysan, journalier toute sa vie.
Aujourd'hui, il y a 20.000 métiers. Il y a moins de métiers héréditaires. Il y a des gens qui font plusieurs métiers. On ne peut pas faire autrement, mobilité obligatoire. Comme dans un grand magasin, il y a dans la société différents produits (groupes religieux, groupes économiques...). Comme dans un grand magasin, on s'y déplace, on monte où l'on descend par l'escalier ou par l'ascenseur.
Mobilité : par l'éducation, on peut devenir ministre en étudiant bien. Mais, s'il y avait trop d'étudiants à l'université, ils ne pourraient pas tous trouver du travail. Besoin d'un ascenseur de petite taille. Certains critiquent la société contemporaine, mais ne regardez pas seulement les aspects négatifs, regardez les choses correctement. Les modernes sont très critiques, les anciens restaient toujours dans le même lieu, ils ne pouvaient comparer. Il n'y avait rien à comparer. Maintenant,
on peut changer d'époux, de religion, de métier. . . On ne peut donc être que critique.
Les femmes aussi critiquent beaucoup, elles ne croient plus ce que disent les autres. Les Coréennes n'en sont pas encore à ce point. Dans la société contemporaine, on ne peut pas s'arrêter à un seul endroit. Mobilité : différentes écoles, différents maîtres, différents centres de recherche. Le coeur bouge sans cesse. On ne peut pas s'arrêter
à une seule chose. Les anciens disent que la société est frivole, inconstante qu'elle manque de sérieux. C'est l'un des caractères de la société de profit. La société coréenne n'est pas encore comme cela, mais cela vient.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 5 Juillet 2019
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA11.
"Hijôji-gata no shakai keitai" 非常時型の社會形態. [Formes de la société en temps de guerre], conférence à la radio [de Keijô (Séoul)], (1938.06.16), écrit à
l'encre au recto, attaché par un trombone, 18x23 cm, 1 7 p.
Il ne faut plus avoir de comportement individualiste, mais renforcer la solidarité.
Les femmes doivent porter des pantalons, les hommes des uniformes. On ne peut
pas rompre les liens entre parents et enfants, ni entre époux. On ne peut interrompre
l'aide mutuelle entre les membres d'une même famille ou les adeptes d'une même
religion. Il y a des relations qui cessent facilement; celles qui sont socialement plus
lointaines, de nature politique, religieuse, ne résistent pas à la dispersion des
groupes. Le temps de guerre est un temps de la dispersion de la solidarité. Les
individus dispersent leurs intérêts, leurs relations. La société est éclatée, dispersée.
Il n'y a pas la possibilité de continuer dans la même direction, de se concentrer. La
société devient comme une mosaïque de petites sociétés. Il n'y a pas d'ambition
dans la jeunesse. Tout le monde essaye de faire le minimum, de le faire sans
approfondir, sans aller jusqu'au bout. Forme de société où l'on ne peut plus croire en
personne. Pour la guerre, il faut que la société soit unifiée vers un seul but. Au lieu
d'avoir différents types d'assurances sur la vie, contre l'incendie, contre les insectes,
il vaut mieux avoir des assurances centralisées pour avoir une meilleur protection.
De même, nous avons besoin d'une société plus forte, plus unie pour faire la guerre.
Unis nous gagnerons. Hitler avec le nazisme, Mussolini avec le fascisme ont fait
des sociétés beaucoup plus fortes où les relations mutuelles sont intenses (p. 14).
Depuis les origines, les Japonais ont le même ancêtre divin (p. 15). Il faut se
concentrer, nous manquons de relations mutuelles.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 5 Juillet 2019
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA 10.
"Shûkyô to shakai" 宗教と社會 [Religion et société], conférence
prononcée au monastère Hongan 本願寺 situé à Keijô [Séoul, Ùlchiro], le 23 juillet 1938, [à la même liasse est attaché le programme imprimé des conférences], écrit à l'encre au recto, attaché par un trombone, 16 x 23 cm, 10 p. Un mois plus tard, le
texte fut publié dans le mensuel Senyû, sous le même titre, cf. IM9.
Comparaison entre la vie rurale (relation avec la nature ) et la vie urbaine (relation avec les édifices) (p. 1). Sur les édifices. Sur l'activité professionnelle (unique dans le milieu rural, diversifiée en ville). Sur l'immobilité rurale et la mobilité urbaine (p. 2-3). Vie rurale : culte de la nature : ciel, astres, monts et rivières, esprit de l'arbre, pierre, animaux liés aux immortels et aux ermites, esprits errants, morts (p. 4). Vie urbaine : culte matérialiste, technologie, contrat matériel avec les dieux (p. 5). Village : étendue limitée, difficulté pour les religions chrétiennes de s'implanter. Famille. Ville : grande étendue, grandes religions, individualisation, dans la même famille, plusieurs individus embrassent différentes religions (p. 6). Village : tous sont agriculteurs, même caractère, religion
communautaire, grégaire. Syncrétisme [composé d'éléments] taoïques, confucéens, bouddhiques, chamaniques. Pacifisme, acceptation de l'existence d'autres religions.
Religion de l'acceptation. Ville : séparation, distinction, religions de la société, division des religions, traditionalisme, conservatisme relatif aux religions, la guerre, le combat entre les religions a une forme urbaine (p. 7). Village : société égalitaire, pas de différence de mode de vie, de statut. C'est à cause de cela que les organisations religieuses sont peu développées. Le pouvoir des hommes religieux n'existe pas. Religion communautaire et égalitaire. Les mudang ont une activité d'aide, d'assistance, pas la spécialisation très marquée des spécialistes du religieux.
Temps, lieux, rites, pas de séparation, vie et religion mêlées. Ville : société complexe. Organisations religieuses développées, pouvoir religieux important : pasteurs, prêtres, religieuses, guides supérieurs aux croyants, séparation entre la religion et la vie, religion formelle : il faut faire comme cela... (p. 8). Village : peu de mouvement, immobilité, stabilité des croyances, force des croyances, légendes et tradition. Ville : beaucoup de mouvements, société aux séparations, aux changements rapides, instabilité, faiblesse des croyances, doute, critique (p. 9).
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 5 Juillet 2019
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA9.
"Dozoku oyobi shinkô-jô yori mitaru naisen kankei" 土俗及信仰上ヨリ見タル内鮮關係 [Les relations entre le Japon et la Corée au point de vue des moeurs et des croyances], écrit à l'encre au recto, attaché par un trombone, 16 x 24 cm, 21 p.
Dans Y Histoire des Han postérieurs 後漢書・三國志, on dit que dans le territoire des Trois Han 三韓 [le sud de la péninsule coréenne], les hommes et les femmes se côtoient à l'extérieur, que la terre est belle et que le riz, les cinq céréales sont bonnes. Dans le sud de la péninsule et au Japon, on plantait le riz de la même manière. Qu'en est-il de l'orientation des croyances ?
La forme des sanctuaires 神社 du Japon et les rites, bien que présentant des différences sensibles, révèlent, après un examen minutieux, des parentés profondes.
Par exemple la corde d'interdit [japonaise] (shimenawa 注連縄) est semblable à la corde d'interdit coréenne [-3- (禁) 4 kûmchul], les offrandes d'alcool sont identiques.
Les rites coréens contemporains présentent avec les rites de l'antiquité japonaise des similitudes étonnantes dans différents domaines. C'est dans cette direction que je vais mener cette étude.
1 . Le territoire des esprits 신성 神城
En Corée :
La montagne. On construit des routes dans les montagnes et on honore l'esprit de la montagne. On y construit aussi des tombes. Il y a l'arbre de l'esprit de la montagne, le rocher de l'esprit de la montagne. On y prie, on prie pour avoir des enfants. On prie aussi pour déterrer quelque chose dans le sol de la montagne.
Lorsqu'on va déterrer le ginseng, on prie aussi l'esprit de la montagne. L'esprit de la montagne est l'esprit protecteur du district 郡 (kun). L'arbre de l'esprit est dans la nature.
Le col, le sônghwang 城隍, le sônghwang national 國師城隍, Ch'ônwang 天王,
Grand-mère nogo 老姑. L'arbre de l'esprit est dans la nature.
Le sanctuaire de la montagne 堂山 (tangsan). L'arbre du sanctuaire de la
montagne. En entassant des pierres, on construit un autel. L'arbre du sanctuaire est planté dans ce lieu.
Le sanctuaire 堂宇 (tangu). L'arbre de l'esprit, la pierre de l'esprit. Les écrits disent qu'autrefois on dressait un grand arbre et qu'on honorait l'esprit. L'arbre est dressé.
Au Japon32 : Montagne. Forêt où l'on honore l'esprit (d'après le Man'yôshû 萬葉集). L'arbre est la pièce où réside l'esprit. Pierre où il y a un esprit. On dresse une pierre, un arbre, pour honorer l'esprit. Les sanctuaires, les portes sont apparues plus tard.
2. Rites aux esprits et corde d'interdit
En Corée :
Quand on fait une offrande rituelle aux esprits, on tend une corde d'interdit (-3- [禁] 1 kûmchul) :
- pour les rites villageois 洞祭, tongje, (esprit[s] du village), autour du territoire de l'esprit, de l'arbre, du puits, à l'entrée du village et des maisons des officiants;
- pour les rites domestiques 安宅, ant'aek, (esprits de la maison), à la porte, avec des branches de pin et de bambou;
- pour la naissance 出産, ch'ulsan, (Samsin 三神), à la porte, avec des branches de pin et de bambou;
La corde, tordue vers la gauche, est faite de brins de paille ou d'herbes séchées.
C'est une corde de paille qui manifeste l'interdit.
Interdiction aux souillures d'approcher. Les villageois souillés ne peuvent pas faire l'offrande rituelle du village. Les gens d'autres villages ne peuvent pas venir.
Si les officiants rencontrent une femme, des catastrophes arrivent au village. On ne peut pas aller dans la maison où un enfant vient de naître.
On empêche les esprits de partir ailleurs. Pendant l'offrande rituelle du village, les villageois ne vont pas dans d'autres villages. Les enfants d'une maison où un enfant vient de naître n'emportent pas leur boîte de riz à l'école.
Au Japon :
Tout le monde sait que quand on met une corde d'interdit (shimenawa 注連縄), c'est le signe qu'on honore un esprit. La structure et le matériel utilisé sont identiques à la Corée. Dans le Man'yôshû 10, on parle d'un chant où il y a une corde d'interdit. L'esprit ne peut pas sortir du lieu délimité par la corde d'interdit.
3. Les officiants 祭官
En Corée, ils se baignent, font leur toilette et mettent des habits blancs. Ils évitent les impuretés (accouchement, mort, enterrement). S'il y a un décès ou un accouchement, l'offrande rituelle n'a pas lieu. Si dans une maison, il y a un décès, on jette de l'eau pour purifier; dans le sud de la Corée, on fait un kut Mettre des habits blancs est une coutume très ancienne. Déjà du temps des Trois Han, on mettait des habits blancs et propres.
Au Japon, on considère aussi la mort comme une impureté. Autrefois, on se purifiait en passant par une petite porte d'orangers (tachibana) [sorte d'orangers à épines] et on se baignait. Il existe au Japon une "secte de la purification" (Misogikyô).
L'habit de l'officiant est depuis longtemps un habit blanc. Maintenant encore, les habits de l'officiant et des miko 巫女 sont blancs. Autrefois, les accouchées portaient des habits blancs. Pour les funérailles et pour le harakiri, on met des habits blancs ainsi que pour le mariage. Tout cela pour chasser les impuretés.
4. Les offrandes de papier blanc
En Corée :
a. P'yebaek 幣帛33 offert aux esprits en tant que vêtements spirituels.
- Offrande de village, on fixe un morceau de papier blanc sur l'arbre de l'esprit.
- Au col, sur l'arbre de l'esprit, on fixe un morceau de papier, du fil, du chanvre, un morceau de tissu 布 (p'o). Quand on voyage, c'est la coutume de préparer ainsi le voyage. On prie ainsi pour la longévité. On coupe un arbre, on fixe un papier, on le dresse devant l'arbre de l'esprit et on prie pour que l'esprit vienne. Quand l'arbre s'agite, on considère que l'esprit est venu à l'autel et qu'il accepte les demandes. On a. Ce que l'esprit reçoit en tant qu'esprit. sort).
Chanvre, fil d'arbre, papier fixé à une petite branche d'arbre . . .
Le voyageur déposait à chaque col, dans une enveloppe, un morceau de chanvre, du fil d'écorce, du papier et une petite branche d'arbre afin que son père et sa mère vivent longtemps et que la vie du voyageur soit protégée (Man'yôshû 20).
Sur un arbre coupé, on fixe un papier à une branche, on dresse l'arbre devant l'esprit et l'esprit vient . . .La coutume de transporter l'esprit dans un palanquin est plus tardive.
b. Purification : on utilise aussi le heihaku pour chasser la mauvaise chance.5. La nourriture des esprits 神饌
En Corée :
a. Riz 米 (mi)
Tiges de riz avec leur épis 稲穂 tosu, (pour l'esprit protecteur du sol de la
maison, kiju 基主); grains de riz non décortiqué, pyô, (pour le kiju, Vôp 業35); riz blanc (Sôngju, Chesôk, etc.)
Gâteaux de riz (panbyông 飯餅 [ = ttôk])
Sur l'arbre de l'esprit, on accroche un heihaku.
Amaterasu : sur l'arbre sakaki, il y a un magatama au sommet, un miroir au milieu et un papier blanc et bleu en bas (Amaterasu ouvre les portes de pierre et Gâteaux de riz pour le kosa 告祀 (petite cérémonie chamanique) : chùngbyông36 甑餅, on dispose en couches de la farine de riz et des haricots rouges (p'at) que l'on fait cuire; paekpyông37 白餅, dans la province du Kyôngsang du Nord à Yôngch'ôngun, Sillyông-myôn, village de ..., l'esprit du village aime bien les gâteaux de riz.
b. Alcool 酒 (chu) : T'akchu, 濁酒 alcool blanc, fabriqué avec du riz
Yakchu, 藥酒 alcool noir, fabriqué avec du riz.
Au Kwisandang 鬼山堂, la déesse ne prend pas d'alcool, on lui offre une boisson sucrée.
Pour préparer l'alcool des esprits, on enterre une jarre à fermenter dans le voisinage du territoire de l'esprit. appelle cet arbre 神竿 (sin'gari).34 On honore l'esprit en se mettant devant.
b. Purification
Le p'yebaek utilisé comme moyen de purification. Le col usagé de la veste (tongjông) est attaché à la branche de l'arbre de l'esprit et cela chasse la mauvaise chance 厄 (aek).
Au Japon : heihaku 幣帛
c. De la montagne et de la mer : oiseaux, animaux (poule, cochon, boeuf,
mouton), légumes.
d. Différence entre les offrandes rituelles végétariennes et les offrandes rituelles avec viande. Dans le quartier de Tongsung-dong 東祟堂,38 pas de viande. Offrande végétarienne et bouddhisme.
e. Les offrandes rituelles avec viande, vache, cochon selon le mode chinois. A Yangju les offrandes rituelles à l'esprit de la montagne et à l'esprit du village sont avec viande.
f. Consommer le bonheur 飲福 (ùmbok), on mange devant l'esprit, on mange devant la tombe.
Au Japon 神饌 (mike) :
a. Riz
Tiges de riz avec leur épis; grains de riz non décortiqué (selon le ... [illisible]); riz décortiqué : on décortique le riz à la main avant de faire l'offrande rituelle (cf. Man'yôshû); on jette le riz à la main.
Riz cuit, gâteaux de riz. Il n'y a pas d'esprit ni de village qui n'aime pas les gâteaux de riz.
b. Alcool
- Alcool blanc, amer, bière de riz.
- Alcool noir, mélangé avec des graines de sésame noires.
On fabrique de l'alcool pour l'esprit dans une maison située dans le territoire de l'esprit. On a mis à jour de tels emplacements où autrefois, on faisait cela.
c. Produits de la montagne, de la mer.
Offrande végétarienne et bouddhisme.
Le sacrifice du boeuf et le sacrifice du cheval appartiennent à la tradition chinoise. Le sacrifice de la vache se fait comme le sacrifice chinois du temps des Han. On mange devant l'esprit. On mange des gâteaux de riz et on boit de l'alcool pendant l'offrande rituelle. On prend l'alcool la nuit. Après, les villageois mangent des gâteaux de riz et boivent de l'alcool.
6. Chamanes
En Corée 巫女 (munyo) :
a. On joue la musique des esprits. On appelle cela kut. C'est joyeux et bruyant. Grelots, éventail, tambour en forme de sablier, gong, chant, danse, musique. On fait en sorte que les esprits s'amusent. Les esprits jouent joyeusement. Dans les chants chamaniques, on leur demande de s'amuser. Pendant la cérémonie, on leur demande aussi de s'amuser.
b. Si l'on fait ardemment le kut, il y a l'oracle 神託 (sint'ak). Maladie des chamanes 巫病 (mubyông) : manifeste de la nervosité, ne mange
pas, ne parle pas, brusquement elle se met à crier : "Je suis la taesin 大神 de l'éclair, l'Excellence, ... présentez-moi ceci, cela." Quand elle se réveille, elle ne se rappelle plus de rien. Pour certaines, après avoir dansé ardemment, les oracles viennent.
Au Japon 巫女 (miko) :
a. On joue la musique des esprits. L'esprit s'amuse. On appelle cela la musique des esprits. Grelots, éventail, tambour en forme de sablier, cithare, chant, danse, musique. "Izanami meurt, on fait une offrande rituelle à .... C'est le dieu de ce village, tambour en forme de sablier, chant, danse, et offrande rituelle."
Actuellement, on l'honore dans le village de .... Grelots, tambour en forme de sablier, le Japon et la Corée appartiennent au même groupe, comparaison avec la Mandchourie et la Sibérie. Dans un chant pour l'esprit on dit qu'à l'époque de Heian 平安 [794-1 192], il y avait un esprit coréen 韓神.
b. Si on le fait ardemment, l'oracle de l'esprit descend pendant que l'on danse.
La déesse Ame no Uzume 天鈿女, munie d'une lance, montée sur un baquet renversé, danse... Autrefois, à l'époque de Tenmu 天武,... brusquement, une femme devint muette, ses lèvres étaient collées. Trois jours après, l'esprit se manifesta et elle se mit à parler : "Je suis ... , l'esprit de l'orage..., il faut m'honorer à la tombe avec un cheval et des armes." Puis, elle se réveilla et elle sortit de sa transe.
7. Les rites aux esprits
En Corée :
Les munyô 巫女 s'appellent mansin 萬神 parce qu'elles honorent beaucoup d'esprits.
a. Les esprits (靈) de la nature, esprit de la montagne, esprit de l'arbre, esprit du vent, esprit de l'eau, esprit des routes, tigre, serpent, belette, ôp (業), esprit d'une maladie, esprits inconnus 雜鬼 (chapkwi) . . . , le temps me manque pour parler de tous ces esprits.
b. Les esprits (靈) d'êtres humains
Aux esprits qui ont du ressentiment, on fait le ogu p'uri, le ogwi kut.
Esprits des hommes célèbres : le général Ch'oe Yông ^M: (san [山] manura), le général Im 林, kunung 軍雄 (esprit d'un homme mort à la guerre), esprit des ancêtres, chinogwi, chosang kut (祖上 ).
Ancêtre fondateur, origine (puri), patronyme 氏 (ssî) esprit qui a donné le nom de famille 姓 (sông), esprit du pays natal d'origine 本鄕神 (ponhyang sin), l'arbre du pays natal d'origine du mont Tôngmul 徳物. Le temple du pays natal d'origine 本鄕堂 (ponhyangdang) de l'île de Cheju, l'esprit des trois patronymes. Offrande rituelle à la manière confucéenne.
Au Japon :
a. Il y aurait huit millions de dieux au Japon. On croit à beaucoup d'esprits 靈 (tamashii), beaucoup de dieux 神 (kami).
- Les esprits de la nature : de la montagne, de la mer, l'arbre, le tigre, le loup, le serpent, le vers à soie, l'esprit du vent, le feu, le sol, les céréales, l'esprit des céréales.
b. Les esprits d'êtres humains.
On honore les morts et on a peur d'eux.
Esprit des ancêtres honorés à la tombe, à la montagne.
Ancêtre fondateur.
Dieu vivant, dieu mort.
Le guerrier japonais (samurai) est considéré comme un dieu.
Culte de l'empereur, dieu vivant.
Culte des ancêtres fondateurs de la dynastie.
1 . Le territoire des esprits, l'arbre de l'esprit, le rocher de l'esprit.
2. On honore et on retient l'esprit en attachant une corde d'interdit et en
empêchant les souillures de pénétrer dans le territoire de l'esprit.
3. Les officiants qui vont honorer les esprits, bain, vêtements blancs.
4. On accueille l'esprit en attachant à l'arbre de l'esprit du fil, des morceaux de tissus, du papier et en apportant la perche de l'esprit.
5. La nourriture des esprits : riz, alcool, gâteaux de riz.
6. Les chamanes jouent pour amuser les esprits, si elles le font ardemment, elles reçoivent l'oracle. humains.
7. Les rites et les esprits sont nombreux : esprits de la nature, esprits des êtresLa méthode pour honorer les esprits est semblable en Corée et au Japon concernant tous les aspects importants, mais il y a des différences de détail. Les croyances coréennes sont restées proches des formes originelles. Les Coréens ne vont pas consulter le médecin, mais le chamane. Depuis que l'empereur conduit le pays, nous avons une religion supérieure. Les croyances coréennes sont primitives, elles n'ont pas su se développer. Il faut que les Coréens s'associent au Japon.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 27 Juin 2019
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA04.
"Fusai, kut” 巫祭굿 [Rites chamaniques], encre, écrit au recto, trace de
trombone, 16 x 23 cm, 4 p.(* note 21)
1 . Catégories
Classement selon les saisons : lère lune, printemps, 6e lune, automne, 10e lune.
Moments dangereux : naissance, mariage, maladie, mort.
Travaux agricoles, commerce, Sôngju maji 成造迎, jeu des Excellences 大監놀이) (Taegam nori), rite au dragon 龍神 (yongsinje)
Esprits des ancêtres 祖靈 (choryông) l sônghwang 城隍.
Individu / famille / chef lieu de district urbain邑都 (ùpto).
Ch'ônsin 薦新 : pendant les quatre saisons; pour naissance, vieillesse, maladie, mort; au sujet de chance, malchance, bonheur, malheur; pour la demande de bonheur.
2. Choix d'un jour favorable 擇日 (t'aegil) : visite aup'ansu.
3. Célébrant : tan'gol mudang "단골巫堂 :. Organisation. L'argent du kut (prix des choses nécessaires + la rémunération) est déposé deux jours avant avec la demande pour faire le kut.
4. La tan 'gol mudang prépare toutes choses jusqu'au matin du jour prévu.
Offrandes.
5. Organisation des chamanes : la wôn mudang 元巫堂, la ch'angbu mudang 倡夫巫堂 (fait le taegam et le ch'angbu), la twitchôn mudang (fait le twitch'ôn), la ch'odae mudang 招待巫堂. (est invitée, assise, elle joue du changgo 杖鼓 [tambour en forme de sablier]), à l'île Cheju, [on l'appelle :] kidaei, chidaei. Le chaebi (* note 22) donne le rythme en jouant du tambour (changgo), des cymbales (chegûm). (* note 23)
Offrande de musique : musicien, flûte 笛 (chôk), cithare 琴 (kùm).
6. Structure originelle des rites chamaniques. Début : rite de purification (on nettoie les lieux). Milieu : dix parties, descente des esprits. Danse. Dons des esprits. Divination. On dresse le mât des esprits. Fin : twitchôn, on donne à manger aux esprits inférieurs.
Ch'ônsin 薦新, 9e lune, 28e jour (dimanche), Noryangjin 鷺梁津 (* note 24)
Chudang mullim. Précaution contre les chudangsal, hogu pyôlsang, kunung
(Sangsan kunung 上山軍雄), revêt un manteau rouge 紅天翼 (hongch'ônik).
1 . Purification 不淨 (pujông), lance de l'alcool, fait de la musique.
2. Kamang, on va à la rencontre des esprits des ancêtres 祖靈 (choryông).
3. Manura (Sangsan manura 上山마누라), Sangsôn, 上仙 (immortel supérieur), Tan'gun 檀君, le général Ch'oe 崔營, Kim Yusin 金庾信.
4. Pyôlsang, prince Changhôn 莊獻 [1735-1762], mort enfermé dans un coffre à riz; roi Tanjong 端宗 [1441-1457].
5. Les Excellences 大鑑 Taegam.
6. Chesôk 帝釋, jarre (tanji) de Chesôk.
7. Le roi du ciel 天王 ch'ônwang.
8. L'esprit d'une fillette 胡鬼 hogwi.
9. Kunung 軍雄, Sôngju 成主, esprits de la maison.
10. Ch'angbu 倡夫 (spectacle, amusement).
1 1 . Malmyông, les esprits des ancêtres 祖靈 (choryông) reviennent et prennent place.
12. Twitchôn.
Structure des kôri :
1. Prosternation de demande, ch'ôngbae 請拜. Assis/debout. Incantation 咒言 (chuôn),(* note 25) le tambour joue.
2. Danse, début, devant-derrière, droite-gauche, rotation, saut.
3. Kangsin 降神 (descente de l'esprit), kongsu (oracle), divination, sasil (épreuve de vérité), soji (brûler du papier), chanttae 盞臺 (soucoupe), kaemyôn (* note 26) (pokpyông 福餠 les gâteaux de riz du bonheur), myôngjan pokchan 命盞福盞. (les coupes d'alcool de la vie et du bonheur). Communion.(* note 27)
4. Chants : norae karak,
* notes 21-27 :
21) Ce manuscrit est une ébauche du chapitre sur le 薦新굿 ch'ônsin kut, le 5e chapitre du second tome de Chosen fuzoku no kenkyû, [Etudes sur le chamanisme coréen], 1938 : 134- 147).
22) En alphabet coréen (han'gûl) dans le manuscrit.
23) En alphabet coréen (han'gûl) dans le manuscrit.
24) Localité située au sud du fleuve Han et englobée actuellement dans Séoul.
25) Autre graphie pour chu : "呪".
26) II s'agit certainement de kyemyôn (coréen standard), transcrit également kernyôn, kimyôn, chimyôn, chemyôn, et qui désigne le gâteau de riz (ttôk) appelé kyemyôn. Dans sa thèse de doctorat, Muga the Songs of Korean Shamanism (Dordrecht, ICG Printing, 1985), B. C.A. Walraven dit (p. 176) : "At the end of every kut the clients receive, to take home, some of the rice cakes which are arranged on the sacrificial tables. This symbolizes the transfer of good luck to the clients." Puis, il cite les lignes suivantes :
"When Kyemyôn Kaksi goes around with kyemyông ttôk,
It is ttôk which bring happiness",
traduction de :
계면각시 계면을 들으심에
복떡이오 복떡으루다가 많많 받이시면
in Kim T'aegon 金泰坤 Han’guk muga chip 韓國巫歌集 [Recueil de chants chamaniques coréens], Seoul, Wôn'gwang taehakkyo minsok yôn'guso, vol. Ill, 1978, p. 211.
27) En français dans le manuscrit.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Lieu(x) de création:
- South Korea
- Date de dépôt:
- 12 Juin 2019
- Type de données:
- manuscrit et textes
- Description:
- MA02.
"Fuzoku to bosei. Chôsen bunka no shakaisei ni kansuru ichi mondai" 巫俗と母性・朝鮮文化の社會性に関する問題 [La maternité et le chamanisme coréen. Un problème concernant le caractère social de la culture coréenne.] / [même liasse, titre de la deuxième étude écrit sur la première page du manuscrit :] " 'L'ethnos' d'après la table des matières des Mandchous et des Toungouses de Shirokogorov" シロコゴロフ滿洲及ツングース目次「エトノス」の説, écrit à l'encre au recto, attaché par un trombone, 15 x 22,5 cm, 23 p.
A. Le caractère féminin du chamanisme (comparaison entre la participation des femmes et des hommes au kut [séance chamanique coréenne])
1. Il y a beaucoup de chamanes femmes (munyô 巫女) professionnelles.
2. La profession chamanique se transmet de belle-mère en belle-fille.
3 . Les chamanes hommes mettent des habits de femme.
4. Il y a beaucoup de fidèles femmes.
5. Les relations de clientèle (tan'gol) sont centrées sur la chamane, munyô 巫女(la maternité et la mu tan'gol).
B. Le caractère familial du chamanisme (comparaison entre la fonction familiale du chamanisme et la fonction non-familiale).
1. La fonction familiale du chamanisme (naissance, économie, éducation, prévention, harmonie, sécurité).
2. Le caractère familial des relations de clientèle (la chamane est traitée comme un membre de la famille, elle mange avec la maîtresse de maison).
3. Caractère familial des esprits (autrefois, déesse, maintenant, autorité paternelle)
4. Les chamanes et les rites villageois, nationaux. Les rites de lignage (relations entre la famille et la collectivité).
5. La chamane et les organisations de chamanes.
6. Organisation des familles de chamanes.
Caractère familial féminin du chamanisme, centré sur la maternité.
Actuellement, les offrandes sont faites à des esprits masculins. A l'île de Cheju, il y a beaucoup d'esprits féminins, d'arbres et de femmes. A Séoul, il y a beaucoup d'esprits masculins, de femmes chamanes et d'hommes.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Lieu(x) de création:
- North Korea et South Korea
- Date de dépôt:
- 12 Juin 2019
- Date(s) du document:
- 2020
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA01.
"Chôsen no kazoku to jukyô" 朝鮮の家族と儒教 [Le confucianisme et la famille coréenne], encre, attaché par un trombone, recto, 15x21 cm, 3 p.
1. Dénominations des parents proches (ch'injok,親族) [jusqu'au 8e degré] et fonction des parents lointains (chongjung 宋中) [au-delà du 8e degré] (au sujet de l'étude de la formation de la parenté), à la lumière des dénominations des parents proches, en prenant comme modèle le groupe des consanguins, suivant l'éclairage fourni par la fonction des associations de lignage... La loi ancienne et la forme confucéenne en examinant la famille chinoise (dénomination et formation de la famille). Préparation de document (cf. les feuilles en annexe).
2. Fonction et structure de la famille dans les villages. Relation avec les principes confucéens.
3. Relation entre le confucianisme et l'éthique familiale.
4. Conclusion. (* note 4)
* note 4 :
4) Les deux dernière pages présentent des tableaux de parenté dont les termes sont écrits en caractères chinois à l’exception de abôji (père) et ajôsi (ajôssi, oncle) écrit en alphabet coréen.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Lieu(x) de création:
- North Korea et South Korea
- Date de dépôt:
- 10 Juin 2019
- Date(s) du document:
- 2020
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Description:
- MA6. "Nôson seikatsu to kyôdo kenkyû" 農村生活 と鄕土硏究 [Etude sur le pays natal et la vie rurale], écrit à l'encre au recto, attaché par un trombone, 17,5 x 23 cm, 17 p.
Conférence prononcée le 11 oct. 1937 au lycée agricole de Suwôn. Titre des chapitres : 1 . Le milieu agricole ; 2. La société agricole ; 3. La culture agricole.
- Créateur:
- 秋葉, 隆 (1888-1954)
- Structure éditrice:
- UMR 8173, Chine, Corée, Japon (Paris)
- Déposé par:
- Carré-Na, Eun-Joo
- Date de dépôt:
- 7 Juin 2019
- Date(s) du document:
- Les années 1920
- Type de données:
- images fixes, manuscrit et textes
- Identifiant:
- Collection Akiba Takashi du fonds CRC-EHESS labélisé CollEx